Un peu avant sa mort, il s’est retiré dans une villa de la Côte d’Azur. Il exerce l’activité de rédacteur en chef d’une petite gazette locale « l’Écho de Tamaris ».
Il se rend chaque matin à Toulon et regagne son domicile le soir par voie maritime. Son bateau accoste dans la vieille darse toulonnaise, juste en face d’une boutique d’horlogerie. C’est au cadran de son énorme enseigne que le capitaine guette l’heure du départ.
Parfois, Alphonse Allais arrive au port quelques minutes seulement avant le moment fixé. Le garçon du café n’a, évidemment, pas le temps de lui préparer une absinthe selon les règles. Alors, de la poignée recourbée de sa canne, notre écrivain accroche la grande aiguille de l’horloge et lui fait décrire un quart de tour en arrière, après quoi, il peut boire tranquillement. Mais parfois, l’humoriste est pressé et agit en sens inverse. Aussi, le capitaine n’arrive-t-il pas à comprendre que son navire effectue la traversée, toujours à la même vitesse, parfois en dix minutes, parfois en une heure.
on lui donne le nom de fée verte à l’absinthe mais elle fait très peur, car elle rend fou , comme cela a été le cas pour le poete Gérard de Nerval ! elle a été interdite pendant un certain temps et maintenant elle est tout de même bien moins forte !
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j’en ai dégusté une fois, dans une pizzeria à Pontarlier, un jour de vide-grenier. J’ai bien aimé mais je n’en ai jamais rebu depuis ai même acheté une cuillère spéciale absinthe mais n’ai pas d’absinthe chez moi, sauf du « Pontarlier » (Ricard »)
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me plaisent beaucoup aussi ces cuillères spéciales absinthe et j’admire aussi les services complets qu’ils vendent les jours de vide-grenier mais cela prend de la place !
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